TABLEAUX, OBJETS D'ART ET BEL AMEUBLEMENT

Pierre-Joseph REDOUTÉ (1759-1840). Euphorbia Spinosa; Delphinicium pentagynum. Deux lavis gris sur traits de crayon noir signés en bas à gauche (quelques taches ainsi qu’un manque en bas à droite pour le premier). Haut. : 22 cm - Larg. : 16.5 cm Note : dessins préparatoires à la gravure, respectivement pl. 101 et 111 dans le volume des planches de Flore Atlantica, Renato Desfontaines, Paris, Pancoucke, an VIII. Surnommé le « peintre des fleurs » ou encore « le peintre des reines ». Dans les années 1780 il s’oriente vers une discipline en plein essor qu’est la botanique. En effet, un « Salon des fleurs » voit le jour et les dames de l’aristocratie deviennent « jardinières » s’initiant ainsi à la nomenclature botanique. Après un voyage à Londres pour étudier les plantes des jardins royaux, Pierre-Joseph Redouté est rapidement introduit à Versailles grâce à sa technique d’une redoutable précision et délicatesse et devient protégé de la reine Marie-Antoinette. Il reçoit le titre de dessinateur et peintre du Cabinet de la Reine. Il résiste aux différents régimes politiques et collabore dès 1798 avec les plus grands botanistes sous le protectorat de Joséphine de Beauharnais et participe à plus d’une cinquantainee d’ouvrages comme illustrateur et éditeur. Expertise réalisée par le cabinet de BAYSER - 01 47 03 49 87 - [email protected]

Pierre-Joseph REDOUTÉ (1759-1840). Phelipaea lutea ; Carduus arenarius. Deux lavis gris sur traits de crayon noir signés en bas à gauche (deux taches de part et d’autre de la fleur pour le premier). Haut. : 22 cm - Larg. : 17 cm Note : dessins préparatoires à la gravure respectivement pl. 146 et 222 dans le volume des planches de Flore Atlantica, Renato Desfontaines, Paris, Pancoucke, an VIII. Surnommé le « peintre des fleurs » ou encore « le peintre des reines ». Dans les années 1780 il s’oriente vers une discipline en plein essor qu’est la botanique. En effet, un « Salon des fleurs » voit le jour et les dames de l’aristocratie deviennent « jardinières » s’initiant ainsi à la nomenclature botanique. Après un voyage à Londres pour étudier les plantes des jardins royaux, Pierre-Joseph Redouté est rapidement introduit à Versailles grâce à sa technique d’une redoutable précision et délicatesse et devient protégé de la reine Marie-Antoinette. Il reçoit le titre de dessinateur et peintre du Cabinet de la Reine. Il résiste aux différents régimes politiques et collabore dès 1798 avec les plus grands botanistes sous le protectorat de Joséphine de Beauharnais et participe à plus d’une cinquantaine d’ouvrages comme illustrateur et éditeur. Expertise réalisée par le cabinet de BAYSER - 01 47 03 49 87 - [email protected]

Pierre-Joseph REDOUTÉ (1759-1840). Anthyllis tragacanthoides ; Centaurea acaulis. Deux lavis gris sur traits de crayon noir signés en bas à gauche. Haut. : 22 et 16 cm - Larg. : 17.8 et 22 cm Note : dessins préparatoires à la gravure respectivement pl. 194 et 243 dans le volume des planches de Flore Atlantica, Renato Desfontaines, Paris, Pancoucke, an VIII. Surnommé le « peintre des fleurs » ou encore « le peintre des reines ». Dans les années 1780 il s’oriente vers une discipline en plein essor qu’est la botanique. En effet, un « Salon des fleurs » voit le jour et les dames de l’aristocratie deviennent « jardinières » s’initiant ainsi à la nomenclature botanique. Après un voyage à Londres pour étudier les plantes des jardins royaux, Pierre-Joseph Redouté est rapidement introduit à Versailles grâce à sa technique d’une redoutable précision et délicatesse et devient protégé de la reine Marie-Antoinette. Il reçoit le titre de dessinateur et peintre du Cabinet de la Reine. Il résiste aux différents régimes politiques et collabore dès 1798 avec les plus grands botanistes sous le protectorat de Joséphine de Beauharnais et participe à plus d’une cinquantaine d’ouvrages comme illustrateur et éditeur. Expertise réalisée par le cabinet de BAYSER - 01 47 03 49 87 - [email protected]

Ecole française du XVIIIe siècle. Jeux d’enfants chinois. Paire de toiles. Haut. : 115 cm - Larg. : 93,5 cm Expertise réalisée par le Cabinet TURQUIN, Monsieur Stéphane PINTA - 01 47 03 48 78 - [email protected]

Ecole française du XVIIIe siècle, suiveur de François BOUCHER. Jeux de putti. Toile (restaurations anciennes, soulèvements). Haut. : 105 cm - Larg. : 131 cm Expertise réalisée par le Cabinet TURQUIN, Monsieur Stéphane PINTA - 01 47 03 48 78 - [email protected]

Ecole AUTRICHIENNE vers 1730, entourage de Johann Christian Fiedler Portrait de jeune prince avec son chien Toile (restaurations). Haut. : 130 cm - Larg. : 98 cm Expertise réalisée par le Cabinet TURQUIN, Monsieur Stéphane PINTA - 01 47 03 48 78 - [email protected]

Comte Armand Gabriel de FRAGUIER (1803-1873). ?? Nature morte aux agrumes et grenade. Toile signée et datée 1857 en bas à droite. Haut. : 138 cm - Larg. : 98 cm Expertise réalisée par le Cabinet TURQUIN, Monsieur Stéphane PINTA - 01 47 03 48 78 - [email protected]

Franco Paolo PALIZZI (1825-1871). Nature morte au homard, crobeilles de fruit, coupes de fleurs et faisans suspendus. Toile signée en bas à gauche. Haut. : 134 cm - Larg. : 85 cm Expertise réalisée par le Cabinet TURQUIN, Monsieur Stéphane PINTA - 01 47 03 48 78 - [email protected]

François BONVIN (1817-1887). Nature morte à la raie et au poulet sur un entablement. Paire de toiles, l’une est signée en bas à gauche et datée 1859. Haut. : 100 cm - Larg. : 81,5 cm Expertise réalisée par le Cabinet TURQUIN, Monsieur Stéphane PINTA - 01 47 03 48 78 - [email protected]

Ecole flamande vers 1700, suiveur de Jacob van de Kerckhoven. Oie et col vert. Toile (importantes restaurations). Haut. : 57 cm - Larg. : 74 cm Expertise réalisée par le Cabinet TURQUIN, Monsieur Stéphane PINTA - 01 47 03 48 78 - [email protected]

Maxime MAUFRA (1861-1918). Jument à robe baie et son poulain dans un enclos. Huile sur toile signée et datée 1882 en bas à droite (rentoilée, manques et soulèvements à droite). Haut. : 72 cm - Larg. : 94 cm Provenance : famille de l’artiste. Note : natif de Nantes, Maxime Maufra connaît un franc succès pour ses marines et ses côtes rocheuses. Notre tableau daté de 1882 témoigne de ses premières œuvres aux côtés d'artistes locaux qui l'initient à la peinture de plein air en Bretagne et en Normandie. Il s'installe par la suite à Paris et se rapproche ainsi des Impressionnistes et des Nabis en participant au Salon des Indépendants. Fervent défenseur de la Bretagne, son œuvre est aujourd'hui très représentée dans le musée des Beaux-Arts de Nantes.

Giacinto GIGANTE (1806-1876). La Baie d'Ischia près de Naples. Aquarelle et gouache signée et datée du 28 juillet 1854 en bas à gauche (vitre cassée, quelques rousseurs en haut et déchirure dans le coin supérieur droit). Haut. : 30 cm - Larg. : 44 cm

Edouard CORTES (1882-1969). Les grands boulevards de Paris avec la porte Saint-Denis. Huile sur panneau d'acajou (restaurations). Haut. : 35,5 cm - Larg. : 26,5 cm Note : peintre de la Belle époque, Edouard Cortes connaît un rapide succès avec ses vues de Paris, la ville "lumière" tant convoitée à l'époque. Son oeuvre se rapproche de celle de Galien-Laloue et des Impressionnistes par sa touche et ses jeux de lumière qu'il capture au gré des saisons et heures de la journée.

Alphonse QUIZET (1885-1955). "La Marne à Charenton". Huile sur toile signée en bas à droite, titrée et datée 1929 ou 1936 sur le châssis. Haut. : 74 cm - Larg. : 60,5 cm